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4 | Il te plaît pas mon zob ?
On s'est remis à manger. Le père ne dit plus rien. Depuis l'autre bout de la longue table, il me regarde bizarrement. Ses yeux sont jaunes et injectés de sang. Il a l'air méchant :
- T'as enlevé ton petit slip ?
- Oui oui...
En fait je ne l'ai pas encore fait, les garçons sont en train de s'en charger. Dès que leur père a recommencé à manger, ils sont venus de mon côté comme des chiots. Je leur caresse la tête et le dos et aussi les fesses parce qu'ils adorent ça. Ils guident eux-mêmes ma main vers leurs petits anus et leurs jolis zizis. Ils miaulent comme des chatons et ronronnement pendant que je les touche un par un. Leurs peaux sont douces. Leurs couilles sont toutes molles avec leurs petits pruneaux à l'intérieur. Leurs zizis tout chauds durcissent dès qu'on y touche et déforment leurs petites culottes de tissu. Ils gémissent et ils couinent, ils écartent leurs jambes et baissent leurs culottes, ils adorent qu'on les tripote... Moi qui aime les filles (si si...) j'avoue que là...
Puis leurs mains et leurs langues se glissent partout le long de mes jambes et sur mes cuisses. Des doigts fins se glissent le long de mon slip et me caressent les couilles.
Beau-papa me fixe avec son regard dur et scrutateur, et je comprends enfin : il guette mon plaisir, le pédé ! En fait il veut me voir jouir... C'est chaud...
Les garçons ont baissé mon slip jusqu'à mes chevilles. J'ouvre les jambes et je m'abandonne aux caresses de ces 10 mains jumelles. Leurs doigts sont partout, ils me frôlent et se glissent dans mes plis et replis, ils explorent mes endroits intimes. Je relève le bassin pour leur offrir tous mes recoins. Une langue contourne l'intérieur de mon prépuce.
- Ooooh !
Beau-papa me fixe, il écarquille les yeux... Des lèvres entourent mon gland doucement.
- Ooooh mon Dieu...
Une autre langue contourne mes couilles
- Mmmmmmh
Un doigt me frôle la rondelle
- Oh putain c'est bon...
Je relève les jambes. Une bouche me suce, une langue m'enveloppe le gland, une autre me lèche les couilles et une troisième me lape l'anus... je ne sais pas comment ils font.
Ils me sucent ils me branlent ils me doigtent, je n'en peux plus. Ma tête part en arrière.
Le père me mate avec ses yeux rouges et ses sourcils noirs. Il a la bouche ouverte et le regard inquisiteur :
- Maintenant, jouis !
Et ces 2 mots comme un ordre déclenchent en moi un orage d'émotions. Ma tête m'abandonne, mon sang se vide, mes bras me lâchent et depuis mon ventre une sourde chaleur se diffuse jusqu'à mon anus et ça me chauffe, tous mes muscles se tendent, je sens que ça monte... et d'un seul coup : une énorme bouffée de plaisir me submerge ! Ça se contracte de dessous mes couilles ! Ça remonte tout le canal et ça gicle ! ...ça gicle ...ça gicle... Chaque secousse me remplit de plaisir... je croise le regard de mon beau-père qui ne me lâche pas, il bave, on se regarde dans les yeux pendant que ça continue à gicler ...à gicler ...et à gicler... jusqu'à épuisement total. Mon beau-père a maté mon plaisir dans mes yeux, de façon intrusive et avec un léger sourire sadique. Ma tête tombe sur la table. Les derniers spasmes de plaisir continuent à me secouer doucement... Et pendant que je commence à débander lentement, je sens plusieurs langues qui me nettoient scrupuleusement, du prépuce jusqu'à l'anus.
- Finis ton porridge, Poildeuk ! Il est l'heure de se coucher.
Putain ça rigole pas. Je me redresse et je prends ma cuillère en bois mais je la fais tomber. En me penchant pour la ramasser, je jette un œil sous la table :
Les 5 garçons sont tous nus, ils exposent leurs petites rondelles roses, se lèchent la bite mutuellement et se montent dessus à tour de rôle comme des lapins...
Et plus loin, sous la table, beau-papa est assis jambes écartées. Ses grosses couilles sont posées sur son siège, et de son gros zob fatigué coule encore un filet de foutre...
Je remonte la tête et croise son regard noir :
- Tu regardes mon zob ?
- Ah... je ne savais pas que...
Il pose son couteau pointe en haut sur la table.
- Je n'aime pas qu'on regarde mon zob.
- Mais... mais il ne m'intéresse pas votre zob. Je voulais simplement...
Son regard lance des éclairs.
- Il te plaît pas mon zob ?
- Mais si bien sûr, il me plaît...
- Ah ! Il te plaît mon zob !!! Retenez moi ou je tue cet imbécile !!!
Effrayé, je m'enfuis sans finir mon porridge, je file dans la chambre oubliant slip et pantalon, exposant mon cul blanc et mes taches de rousseur au rire grave et cruel de mon beau-père et au glapissement des 5 petites hyènes nues.
Jam
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